Mon expérience avec TRASH ÉDITIONS

Oui c’est possible d’écrire un gore abouti et corrigé en deux mois ! Comment ? Mais que raconte-t-il ? Je tiens à vous faire partager mon expérience avec TRASH ÉDITIONS. Ce projet a été concrétisé grâce à une collaboration exceptionnelle, une écoute et un partage.

Tout a débuté par une simple discussion par mail avec un auteur TRASH. J’avais déjà une vague idée en tête, qui ruminait en moi comme un abcès. Tueur en série, Californie, 1984, ACDC. Pas plus.

Fourchette demandée : entre 160 000 et 190 000 signes.

À cet instant, en prenant un risque à la mesure de leur témérité, on me demande un prologue.

Puis un chapitre… et un autre.

La structure se met en place, les avis sont éclairés. Je me prends au jeu et continue sur ma lancée. La confiance devient totale et réciproque. Jour après jour, les phrases deviennent des paragraphes, des chapitres et des intermèdes.

Mon récit a démarré fin juin 2013 et il s’est achevé mi-août. Bon Scott et les riffs rageurs d’Angus Young me tinrent compagnie durant l’écriture. Jamais je ne me suis senti aussi bien. Tout devient fluide, aucune hésitation durant des semaines.

TRASH m’a appris deux choses : il faut écrire ce que l’on aime viscéralement, puis avoir la confiance d’un éditeur dans le suivi d’un roman. Je n’ai jamais été bridé dans mon élan. TRASH m’a permis de m’épanouir en m’assurant d’un soutien sans faille.

Pour cela, je tiens à remercier TRASH pour leur générosité, leur loyauté et leur largesse d’esprit.

Et surtout, mes plus vives et chaleureuses attentions à Antoine, le porteur de ce projet.

Le père spirituel de NIGHT STALKER.

Comments

[Françoise]

Bel épitaphe qui peut redonner espoir aux plus aigris d'entre nous. Merci pour nous.

[ZAROFF]

Je ne veux pas risquer un attentat à la pudeur ! :)

[ZAROFF]

Pitch relayé sur la page FB de TRASH :

Et voilà, il est temps à présent de lâcher l'info sur notre numéro 6 (qui n'est pas un numéro, non, non) !

Il s'agit de NIGHT STALKER, un roman de Zaroff.

Zaroff est un auteur qui a déjà fait parler de lui notamment sur internet en proposant des nouvelles en ebook comme le Cimetière des Oubliés, un titre qui propose de suivre une enquête vraiment noire. Mais il a également écrit d'autres titres sous le pseudonyme de Guy Kerman.
C'est aussi le taulier de l'Ecritoire des Ombres, un forum incontournable du petit monde de la toile SFFF:
http://ecritoiredesombres.forumgratuit.org/
Enfin, les pludedixuitans pourront le retrouver également sur son site consacré au genre et à son aventure TRASHienne ici:
http://gorezaroff.over-blog.com/

Voici le pitch du roman:
"Californie, été 1984. Une série de crimes démoniaques. Un shérif désabusé, un adjoint adepte de la branlette salée, un irlandais à la gâchette facile et un profiler ultra-brite. Le tout pendant que la pornstar Ginger Lynn s’adonne à des actes que la morale réprouve sur fond d’ACDC. Hey, Satan, j’ai payé ce que je dois…"

Nous espérons que ces trois titres vous mettent en appétit et nous vous proposons de continuer ce petit compte-à-rebours car nous vous prévoyons une surprise pour la semaine prochaine.
En attendant, lâchez-vous et dites nous lequel de ces trois pitchs vous accroche le plus !

AmiTRASHment,

Le collectif

[Schweinhund]

Tu as bien fait de mettre une bande noire sur les yeux des deux gus en haut.
Il paraît qu'ils ont vraiment des sales gueules. :)

[ZAROFF]

Merci les gars. En raison de visages disgracieux, j'ai été obligé de cacher leurs regards.

[Dédé le Fada]

Aah... enfin !
Voilà de la bonne nouvelle : Publication, un nouveau site... mais où s'arrêtera t'il ?
Je t'ai mis dans ma liste sur mon blog. Et compte sur moi pour relayer ton actu.

[Léonox]

Merci beaucoup pour ce billet.
Il retranscrit fidèlement l'enthousiasme que tu as injecté dans un projet que je suis fier d'avoir accompagné jusqu'à son terme.
Comme je l'ai déjà écrit en d'autres lieux, le collectif TRASH est très heureux de t'accueillir en son sein.
J'ajouterai que ta place dans notre collection ne doit rien au hasard: notre sixième volume est en effet un sacré numéro, et je ne doute pas qu'il sera reconnu à sa juste valeur par nos lecteurs.