Articles avec #heca-tomb tag

Heca-Tomb vu par Sangore

Publié le par Zaroff - Commenter cet article et avis postés :

 

 

Merci à Sangore pour cette belle critique parue sur son forum ULTRA GORE en janvier. Je suis désolé d'avoir raté son intervention et l'erreur est enfin réparée ! Nous lui présentons nos excuses les plus sincères.

"Tout d’abord, une petite mise en contexte est nécessaire pour bien comprendre Heca-Tomb. Ce qu’il faut savoir, c’est que ce n’est pas qu’un livre. Il s’agit carrément d’un concept transmédia, car est sorti conjointement un CD, un vinyle et le livre. La musique est signée The Black Zombie Procession, groupe de Metal français, et le petit roman est écrit par Zaroff. Un jeu de correspondances s’effectue entre eux : la pochette et la couverture partagent la même illustration (que l’on doit à Andrei Bouzikov), le disque reçu par le jeune héros de l’histoire n’est autre que le mini-album de The Black Zombie Procession, le nom des chapitres du livre correspondent aux titres des chansons, certaines paroles de ces dernières sont citées dans le bouquin, etc. C’est Nasty Samy, membre du groupe musical, qui a lancé l’idée du combo livre gore + disque, et les choses se sont mises en place par des échanges de mails entre le musicien et l’écrivain.

Après Night Stalker et Bayou, tous deux parus chez TRASH Éditions, Zaroff revenait en force dans le pur gore en 2017 avec ce Heca-Tomb, qui aurait très bien pu sortir aussi chez TRASH si la structure éditoriale avait été encore active à ce moment-là. C’est Zone 52 Éditions qui s’en est chargé, éditeur qui s’occupe de fanzines, de livres, de CD, etc. Précédé d’une préface de David Didelot et suivi d’une postface signée Nasty Samy, le récit est bien entouré, si l’on peut dire ! Zaroff va droit au but ; ici, pas de place pour le gras ! Dès les premières lignes, on assiste à l’apparition de la boutique, et le prologue terminé, le carnage commence dès le chapitre premier (« Meat Trick »). Et de fil en aiguille, de chapitre en chapitre, le massacre ira crescendo.

On sent clairement que c’est de la littérature de fan faite pour les fans. On s’en doute rien que par la générosité des descriptions sanglantes. Il y a en outre moult références qui ne trompent pas là-dessus. Mais où cela apparaît de manière la plus évidente, c’est lorsqu’est décrite la fameuse boutique d’où tout part. L’auteur prend un plaisir manifeste à énumérer les différents trésors qu’elle contient (disques, comics, pulps, livres, photos, affiches, VHS, T-shirts, etc.) et, immanquablement, pour tout fan de Metal violent, pour tout amateur d’horreur, pour tout vrai geek qui se respecte, elle apparaîtra comme LA boutique sur laquelle il a toujours fantasmé de tomber. L’homme sait comment titiller son lecteur, pardi !

On se permettra quand même quelques critiques envers le roman. Premièrement, il est un peu trop référentiel. Il constitue en quelque sorte une variation ultra gore du Bazaar de l’épouvante de Stephen King. Lors de sa première apparition, le tenancier de la boutique est d’ailleurs explicitement comparé au personnage de King dans un dialogue. Ce qui est superflu, le vrai amateur de fantastique a déjà capté l’allusion avant d’arriver à ces lignes. Mais au moins, c’est conçu et assumé comme tel. Deuxièmement, l’histoire se déroule de manière fort mécanique. Le CD atterri entre les mains de quelqu’un, s’en suit un massacre ; quelqu’un d’autre écoute le CD, nouveaux meurtres, et ainsi de suite. Il est clair que c’est surtout un prétexte pour étaler de la bonne grosse barbaque. Troisièmement, c’est très court. On aurait bien aimé que ça soit un peu plus développé.

Mais les remarques qui précèdent ne doivent pas vous refroidir. Car pour peu que ce soit l’amour du gore qui vous ait conduit jusqu’à ce livre, vous serez largement comblés. Ca dézingue, ça gicle, ça charcle. L’auteur n’épargne personne, ni enfants, ni personnes âgées, ni policiers, ni néo-nazis. Avec tous les détails dégueulasses et choquants qu’il faut. Et, bien sûr, gore et sexe y font bon ménage. Plus c’est déviant, plus c’est bon. En avant pour l’inceste, la zoophilie, la nécrophilie et tutti quanti ! Gageons que dès la première scène trash, vous serez scotchés ! Bref, du lourd en matière de littérature cradingue !"

Je tiens à signaler que ce roman a été réédité chez Zone 52 (vous êtes des centaines à partager notre passion et merci à vous) et que vous pouvez à nouveau vous le procurer avec le CD de Black Zombie Procession pour un prix très modique.

Lien d'achat ici.

Voir les commentaires

De retour à Quarantine

Publié le par Zaroff - Commenter cet article et avis postés :

 

 

 

En ces périodes troubles d'instabilité sanitaire, il existe un fléau pire que tout ce que vous pouvez imaginer : le virus musical inoculé par le CD de The Black Zombie Procession. Cette seconde édition de mon court roman « Heca-Tomb » paru chez Zone 52 en octobre 2019 est l'occasion de refaire une petite promo sur cet ouvrage de 112 pages fourni avec le CD si vous le désirez. Magnifique préface de mon pote David Didelot (dont j'ai signé dernièrement la préface de son « Monstre de Florence »), l'intrigue se déroule à Quarantine, ville imaginaire située entre Salem et Bend, au dessus de Mill City dans l'Oregon.

 

En 1992, le jeune Billy Jones remarque une curieuse boutique surgie dans la nuit, véritable caverne aux trésors : figurines, comics, littérature fantastique, films, affiches, vinyles... le shopkeeper Adam Scius lui offre un CD assez particulier. Sa seule condition est que Billy doit mettre le volume à fond en l'écoutant ! Ce sera le prélude à un déferlement de meurtres en série, Billy étant le patient zéro si on veut rester dans l'actualité ! Que vont devenir sa mère et son frère ? Les flics Harry Kalann et Dan Milford vont tenter de comprendre les raisons de ces massacres à répétition. Parcours sanglant dans un commissariat, junkies néo-nazis aux actes zoophiles, fossoyeur nécrophile, famille incestueuse... toutes les perversités sont décrites dans une symphonie démoniaque.

 

Quarantine me hante quelquefois comme Castle Rock chez Stephen King. Vous retrouverez cette ville maudite dans ma nouvelle « Quarantine » dans le recueil « Nouvelles de la Zone 52, tome 1 ». Un siècle auparavant, un étrange camelot débarque avec ses roulottes et sa foire aux monstres. Nul doute que je visiterai Quarantine (avec l'atmosphère de Twin Peaks sans doute) un jour prochain car je n'ai pas encore exploré les recoins et énigmes de ce patelin. Avant de conclure cette partie, je n'oublie pas de signaler la postface de Nasty Samy qui termine ce bouquin avec brio.

 

D'autres projets sont en cours, de quoi m'occuper pour les cinq ans à venir... si le Covid-19 me laisse tranquille ! De toute manière, j'ai pas de masque ! Juste du whisky et du savon. What else ? comme dirait l'autre.

Voir les commentaires

Heca-Tomb vu par serge Rollet

Publié le par Zaroff - Commenter cet article et avis postés :

 

Une critique de Serge Rollet, alias lester L. Gore ne se refuse pas. Sa culture est immense et c'est un homme sympathique. Bref, un ami. Et je le remercie pour cet article argumenté, précis et tout simplement clairvoyant.

" Critiquer un livre n’est jamais facile, même si on l’a aimé. Éviter les clichés et le défonçage de portes ouvertes n’est pas la moindre des difficultés lorsqu’on s’attelle à la tâche de décrire ce qu’on a pensé d’une lecture. Mais, quand l’auteur du livre en question est un ami, et qu’en plus il vous a offert le susmentionné bouquin assorti d’une dédicace pleine de chaleureuse amitié, comment faire pour ne pas être soupçonné de copinage ?
Quand, en outre, l’auteur est une personne charmante dans la vraie vie, un convive parfait à table, un bon citoyen et un père de famille dévoué, comment après ça faire la critique de son dernier livre, le fameux « Heca-Tomb », qui semble être issu des fermentations perverses d’un cerveau malade ?

Tout ce long et inutile préambule pour dire tout le bien que je pense de Zaroff et de son petit dernier, « Heca-Tomb » chez Zone 52 éditions. Mais attention : comme le CD qui accompagne le livre, l’objet n’est pas à mettre entre toutes les mains ! C’est du gore bien trash, bien salingue, dans la pure ligne des collections mythiques du Fleuve Noir de la grande époque, cette même tradition que quelques passionnés continuent d’animer, en faisant mourir leurs personnages avec délectation, sadisme et une réjouissante créativité.

Zaroff, avec une économie de moyens maîtrisée, sans effet de style inutile, nous entraîne donc dans son univers familier, celui de l’Amérique profonde des laissés pour compte, loin des mégapoles et du show-biz. Son chaud business à lui, c’est la description par le menu, jusqu’à l’écœurement recherché, des pires violences perpétrées par ses personnages, tous des minables, à l’encontre d’autres protagonistes tout aussi pitoyables. C’est souvent amusant à force d’outrance, parfois écœurant, toujours surprenant d’inventivité dans l’horreur. Pour lutter contre cette série de massacres aberrants, ce déchaînement de violence aveugle, Zaroff reforme le tandem qui lui avait réussi dans son livre précédent chez Trash éditions, « Night Stalker » ( comment ? Vous ne l’avez pas encore lu ? Filez vite l’acheter !) c’est à dire un flic provincial bourru et vaguement ahuri auquel on a de la peine à ne pas donner les traits d’un Clint Eastwood raté, et un agent du Effe-Bi-Aïe finaud mais débordé par un environnement de ploucs tarés. Bien entendu, ce duo calamiteux secondé par des adjoints bras-cassés n’empêchera en rien la vague de tueries de submerger en entier la bourgade concernée, comme un tsunami de sang et de tripes à l’air.

Mais là où l’auteur parvient à se renouveler, c’est lorsqu’il abandonne les thématiques du tueur en série socio-psychopathe pour aborder les rivages du fantastique horrifique, afin de rendre un hommage appuyé à Stephen King en personne. Car « Heca-Tomb » n’est pas qu’un catalogue de meurtres et de perversités exhibé sans intention ; c’est surtout l’occasion pour l’ami Zaroff d’évoquer un des romans marquants de King, « Bazaar », sans oublier quelques clins d’œil à d’autres récits Kingiens. Sans tomber dans la servilité, ni dans l’obésité littéraire qui marque hélas bien des romans de King, Zaroff nous sert donc un remake épuré des œuvres maléfiques de Leland Gaunt, une relecture déjantée de « Needful Things », pimentée à la sauce gore, et on en redemande !

Bref, « Heca-Tomb » est un petit opus jubilatoire, décomplexé et jouissif, une brillante variation sur des thématiques classiques, assorti d’un hommage bien sympathique au maître de Bangor, que je recommande à tous les amateurs de gore, mais aussi aux connaisseurs en fantastique."

Voir les commentaires

Culture Prohibée : interview

Publié le par Zaroff - Commenter cet article et avis postés :

Nos amis de Culture Prohibée ont mis en ligne leur dernière émission consacrée à Heca-Tomb. Interview de Nasty samy et de votre serviteur Zaroff.

Bonne écoute, j'espère que ça vous plaira.

Lien du blog.

Lien du podcast (59 mn)...

Merci à eux.

 

Voir les commentaires

Heca-Tomb, vu par Amaranth

Publié le par Zaroff - Commenter cet article et avis postés :

 

"Zaroff en est à son troisième roman gore commis depuis 2013. Trois romans cradingues : bien dégueus comme il faut et empreints d’une folie urgente, d’une ambiance bien particulière. Chaque roman est différent, mais pourtant, tous suivent une certaine ligne directrice. En effet, chaque roman explore une décennie (années 80 pour Night Stalker, années 70 pour Bayou, années 90 pour Heca-Tomb), avec ses codes culturels, et un coin d’Amérique, souvent reculé, enfermé sur lui-même, avec un arrière-fond bien malsain, un peu incestueux, presque claustrophobique. Bien sûr, ce dernier point ramène plutôt à Bayou et Heca-Tomb. Bayou avait quelque chose de poisseux, avec sa faribole de personnages dégénérés, qui m’a rappelé Blood-Sex de Nécrorian. J’ai une petite préférence pour Night Stalker qui possède un rythme différent : ça envoie, c’est rock. Heca-Tomb, tout en se différenciant de ses petits frères, est un mélange réussi de ces deux premiers romans : on y retrouve le côté dégénéré de petite ville reculée mais aussi le rythme plus rock, entraînant. Avec ce troisième roman, Zaroff plonge un peu plus dans l’aspect fantastique du gore, également.
 
Mais pour parler du bouquin en lui-même (la superbe préface de David Didelot évoque la carrière de Zaroff et ses influences bien mieux que je ne pourrais le faire), il faut commencer par le commencement : le visuel et le projet derrière. Et je dois dire que le pack CD/livre/poster/sticker a vraiment de la gueule ! L’illustration donne le ton, et de très belle manière ! J’ai aimé aussi retrouver ce visuel sur le CD, très bien conçu. Et pour couronner le tout, la préface et la postface permettent de dresser un joli portrait de l’auteur et de comprendre comment s’est construit ce projet atypique.
 
Quant à l’intrigue, elle est simple, basique même pourrait-on dire, mais on s’en fout. Le lien avec le CD est très bien fait et les descriptions gores sont très visuelles et imaginatives : on ne nous ment pas sur la marchandise ! Le style de Zaroff sert très bien ce type de littérature : implacable, efficace, avec un rythme rapide. Sans oublier qu’il est très inspiré ! Ça se lit bien, les massacres s’enchaînent. Heca-Tomb est incontestablement à lire pour ceux qui aiment le gore décomplexé, au moins pour l’inventivité dont l’auteur fait preuve dans les scènes de violence, qui parviennent à aller toujours plus loin."
 

Voir les commentaires

Heca-Tomb, vu par Patryck Ficini (Sueurs froides)

Publié le par Zaroff - Commenter cet article et avis postés :

 

"Zaroff (au pseudonyme mythique pour tous les cinéphiles un poil sadiques) revient au gore extrême après ses deux romans publiés chez Trash Éditions, NIGHT STALKER et BAYOU. Zaroff est sans doute la révélation porno gore de cette folle petite maison d'édition qui est à la littérature ce que Uncut Movies est au DVD. Une nouvelle fois, Zaroff ne recule devant rien dans son dernier forfait, HECA-TOMB. Âmes sensibles s'abstenir. Estomacs sensibles aussi !

Placés sous le signe de Nécrorian, auteur culte chez Gore Fleuve Noir, les romans de Zaroff n'ont pas de limites. HECA-TOMB peut-être encore moins que les précédents.

Sorte de variation sur BAZAAR de Stephen King (de l'aveu même de l'écrivain), HECA-TOMB décrit en long en large et en travers les déchaînements de violence survenant suite à l'écoute d'un CD de metal ultra violent. Le CD passe de mains en mains, comme la WINCHESTER 73 d'Anthony Mann bien connue des amateurs de western américain. Les gens qui en écoutent un seul morceau deviennent fous furieux et hop ! chaque chapitre vire au cauchemar gerbeux et hardgore. On pense aussi à ce film des années 80, BLACK ROSES. D'ailleurs, tout HECA-TOMB est un hommage rétro, puisqu'il se déroule même en 1992, une époque où metal et horreur faisaient bon ménage. La couverture de HECA-TOMB, signée Andrei Bouzikov, évoque d'ailleurs les pochettes les plus infâmes des seigneurs du death et du gore metal d'alors.

L'idée est simple, prétexte peut-être, mais quelle importance ? Le but de l'auteur rejoint celui du lecteur potentiel : aller toujours plus loin. Femmes, enfants, personnes âgées, Zaroff n'épargne personne. Nécrophilie, zoophilie, viols... Le sexe déviant et barbare est roi en ces pages noyées de sang et de sperme. On sait combien la littérature peut aller plus loin que le cinéma. HECA-TOMB en est une nouvelle preuve. HECA-TOMB, triomphe de la violence gratuite ? Peut-être, sans doute... encore que pas plus que d'autres œuvres du même tonneau. D'autant que nous ne sommes pas dans la tête de l'auteur Zaroff pour en décider et l'affirmer !

On aime ou pas. On lira ou pas. Mais une telle littérature ne peut laisser indifférent. D'autant que Zaroff écrit très efficacement.

Originalité : un CD de Black Zombie Procession est vendu avec le bouquin de 110 pages paru chez ZONE 52 (on lira avec intérêt le fanzine du même nom et notamment son numéro spécial Cannon Films)... On l'aura deviné aisément : c'est le CD de metal furieux qui est écouté par les différents personnages du roman ! la boucle est bouclée.

Le roman est vraiment court car on y trouve aussi une préface cultivée du spécialiste David Didelot (maître d'œuvre du fameux GORE DISSECTION D'UNE COLLECTION). Le papa de VIDEOTOPSIE est désormais indiscutablement lié à tout regain d'intérêt pour le gore littéraire, qu'il défend si bien, mais aussi à toute la nouvelle vague gore actuelle, héritière du Fleuve Noir.

Le livre se conclut sur une tout aussi intéressante postface (forcément !) de Nasty Samy, l'homme à l'origine du projet qui visait à mêler musique qui cogne et littérature qui tache. On peut lire HECA-TOMB, le livre, en écoutant HECA-TOMB, le CD. Ou séparément. Ce qui est certain c'est que ce projet de dingues mérite toute l'attention des vrais amateurs de gore no limit."

Voir les commentaires

Achetez Heca-Tomb. C'est un ordre. Obey !

Publié le par Zaroff - Commenter cet article et avis postés :

Message de The Black Zombie Procession :

"Les romans Heca-Tomb, écrit par le fou Zaroff (auteur des monstrueux ("Night Stalker" et "Bayou"), viennent enfin d'arriver ! C'est du Gore de chez Gore qu'il nous a pondu : extrême, régressif, sans limite et sans concession, ambiance ultra eighties, crapoteux et craspec' à souhait, saupoudré de dérapages porn splatter déments ! Et je rappelle que le roman a un lien avec le nouveau disque de The Black Zombie Procession (IV : Heca-Tomb), la double peine, bam.

Les packs de précommandes vont pouvoir partir tranquillement ! Pour les autres, le pack est toujours disponible sur le www.nastymerch.com (nouveau mini album de BZP + le roman Heca-Tomb + 1 Poster deluxe + 1 Sticker).
Préface du livre par l'immense David Didelot et postface par moi-même pour ce beau p'tit bouquin édité chez Zone 52. Illustration signée Andrei Bouzikov (Toxic Holocaust, Ghoul, Municipal Waste...)."

Voir les commentaires

Heca-Tomb

Publié le par Zaroff - Commenter cet article et avis postés :

 

Heca-Tomb, projet lié à l'invitation de Samy Nasty, guitariste de The Black Zombie Procession. Pour les dix ans de ce groupe, il m'a vite convaincu de participer à un truc fou : un package liant un CD et un bouquin gore. Aussitôt cette idée m'avait troué le cul. Non seulement le gars avait chroniqué mon Night Stalker chez Rise Tattoo Magazine (numéro 30 du 29 avril 2014), parlé de moi dans son émission Now It's Dark Podcast (épisode 44), rédigé un billet sur Bayou dans le fanzine Slime Zine number six... bref ce mec était convaincu de ma capacité à concrétiser ce qu'il avait en tête depuis un bout de temps.

Tout a commencé durant l'été 2014, après de multiples courriels pour se mettre d'accord sur une base. Deux ébauches avortées pour ma part : Dirty Eyes et Butcher Forest. La troisième tentative fut la bonne et achevée durant l'été 2016. Le CD comportera six morceaux et mon bouquin aura un prologue, huit chapitres, un épilogue, une préface de David Didelot et une postface de Samy Nasty. L'ensemble fait 148 000 signes et sera édité par Zone 52. Illustration d'Andrei Bouzikov. Sortie prévue en janvier 2017. Et l'intrigue du bouquin ? Mais ça fera l'objet d'une prochaine chronique, mes gaillards !

Voir les commentaires

Heca-Tomb (CD + Book) : sortie janvier 2017 !

Publié le par Zaroff - Commenter cet article et avis postés :

 

Nouveau mini album de The Black Zombie Procession dispo fin Janvier : "IV : Heca-Tomb", dont le superbe art-work a été signé par Andrei Bouzikov (qui a bossé avec Municipal Waste, Toxic Holocaust, Ghoul, Skeleton Witch et des centaines d'autres... après Ed Repka et Jason Osbourne pour nos précédents albums, il fallait au moins ça!).
6 titres (produits par Francis Caste au Studio Sainte Marthe) dans un délire Crossover Metal / Hard Core groove et épais / Thrash des grandes années, le tout balancé en mode Horror Core hypra musclé et gavé de références qui vont bien.

Le disque sera accompagné par le roman éponyme (Heca-Tomb), écrit par le fou Zaroff (qui a déjà publié les chef-d’œuvres Night Stalker et Bayou, chez Trash Editions), book extrême qui pousse le trip Hard Splatter Gore dans ses derniers retranchements et dans lequel le disque de BZP tient une grande place! Un livre intimement connecté à l’univers du Death Metal, du Thrash et du Hard Core, fortement ancré dans la tradition des vieux comics horrifiques sur-violents et du cinéma d’exploitation le plus vile et le plus outrageant des années 80.
Attention : lecture physique, graphique et dérangeante !

Version CD / LP /Digital. (AMT Music, Everyday is Like Sunday Rds, Productions Impossible Rds, Zone 52 Editions).

Le Teaser / Studio Report du nouveau mini album de The Black Zombie Procession est en ligne depuis quelques secondes. Le moyen d'écouter quelques riffs ventrus et d'apercevoir en vitesse comment on a mis en boîte ce nouveau mini album ("IV : Heca-Tomb"), produit par Francis Caste au Studio sainte Marthe (Kickback, Loudblast, Hangman's Chair, etc.).
À faire tourner ménage pour ceux que ça branche.

La suite bientôt ! Un autre mini teaser (concentré uniquement sur la zique) bientôt, et un clip en début d'année.

Premières dates dès février !

Le teaser...

Voir les commentaires