À la masse

À la masse in Violences 10
(Fanzine dirigé par Luna Beretta)
Depuis septembre 2016, le fanzine Violences édité par Luna Beretta allie textes en prose, poésie et illustrations et regroupe une trentaine d’artistes par numéro. Explorant la violence sous différentes formes et points de vue, les auteur.e.s traitent du vide, de la douleur, de l’angoisse, des souffrances sociales ou encore familiales d’un point de vue réaliste et sans concessions.
Also sprach Luna Beretta. Ce sont les mots de l’éditrice, tels qu’ils figurent sur son site, et je ne voyais pas de meilleure introduction à ce nouveau billet. Car Violences, c’est elle – et elle seule – depuis le début de l’aventure et jusqu’à ce numéro 10 paru fin 2019.
Violences, donc. Comme celles et ceux qui suivent mes pérégrinations connaissent déjà l’essentiel de ma petite histoire avec ce fanzine devenu grand (prozine, anyone ?), je serai bref. Luna Beretta m’a publié pour la première fois dans Violences 6. Ensuite, nous avons dirigé ensemble l’anthologie Dimension Violences, parue chez Rivière Blanche en septembre 2018. Après quoi j’ai figuré au sommaire de Violences 8. Puis à celui de Violences 9, avec deux courtes nouvelles (voir le quatrième billet de cette rubrique : http://gorezaroff.over-blog.com/2019/06/violences-9.html Et rebelote dans ce Violences 10, avec encore un texte bref.
Si bref d’ailleurs que je ne vais pas vous le présenter plus en détail. Je préfère laisser la parole à quelqu’un qui l’a lu, ce texte. Et qui l’a apprécié au point de me le dire, alors qu’on n’avait jamais échangé jusqu’alors. Ce quelqu’un, il s’appelle François Fournet. Et il est un des auteurs les plus réguliers de la Team Violences, puisqu’il a participé à presque tous les numéros du fanzine. Un palmarès déjà très costaud, auquel il faut encore ajouter ses contributions aux deux GoreZine et à Dimension Violences, avec une volée de nouvelles pas piquées des vers. Cerise sur le gâteau, le lascar a été choisi par Christophe Siébert afin d’inaugurer l’an dernier la collection « Les Nouveaux Interdits », qu’il dirige pour les éditions La Musardine (au cas où il y aurait des à-mateurs, le roman de François s’intitule Banlieues chaudes : à bon entendeur…).
François Fournet est donc un sacré client. Et il m’a écrit pour me dire ça :
« Je viens enfin de lire tout Violences #10, et donc ton texte dans la foulée, qui m'a sacrément plu. Le rythme marche super bien, la fin m'a fait rire (ça, je ne sais pas si c'était l'effet recherché) ; bref, je me suis dit que c'était bien assez pour te l'écrire. »
Voilà, voilà. Qu’ajouter après ça ? Eh bien pas grand-chose, à part remercier François. Parce que ce serait quand même abusé de faire une présentation plus longue que le texte en lui-même. Allez, un dernier mot quand même. À la masse est une sorte de jeu du chat et de la souris. Toute la question est de savoir qui est qui. Vous le découvrirez (peut-être) en suivant ce lien : https://berettaviolences.wordpress.com/violences-2/
Bonne(s) lecture(s).
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